Quand le lecteur choisit son genre d’histoire…

Quand le lecteur choisit son genre d’histoire…

J’aimerais tellement écrire un livre qui plaît à tout le monde! (Je ne suis probablement pas la seule auteure à y rêver, d’ailleurs!). C’est malheureusement impossible. En fait, c’est heureusement impossible! Ce serait trop ennuyant d’avoir tous les mêmes goûts. La diversité, c’est chouette jusque dans les goûts littéraires! Quand même, l’idée me trottait toujours en tête. Jusqu’au jour où elle a trouvé sa place aux côtés de deux autres de mes rêves…

Ma relation amour/haine avec la direction littéraire

Ma relation amour/haine avec la direction littéraire

Dans l’imaginaire collectif, on pense que l’auteur, une fois son manuscrit terminé, se la coule douce jusqu’à la publication. (Son strident de mauvaise réponse à un quiz) J’aimerais vous expliquer en quoi la direction littéraire me donne l’impression d’un tour de montagne russe d’émotions, l’espace de quelques semaines.

Mon amie la page blanche

Mon amie la page blanche

Commencer un nouveau projet est toujours euphorisant, la nouveauté fait habituellement cet effet-là. Le thème, les personnages, la trame, tout se trace lentement dans ma tête, j’avance dans l’inconnu le cœur joyeux. Comme le début d’une histoire d’amour, entreprendre un projet d’écriture tout neuf me donne des ailes. Toutefois, ce processus n’est pas un vaccin contre le manque d’idées. Que faire pour éviter l’angoisse de la page blanche?